histoire des cols avec un velo de varces

Un petit plus pour une histoire des 100 cols …

Cette « colomania » qui vous prend et qui vous donne la fièvre vous entraîne dans une farandole qui devient grisante, ça vous colle à la selle. Il y a les COLS, les COLLETS, les BOCCAS, les PAS, les PASS, les GOLETS etc … Tout cela bien mixé donne une bonne cuisine, toute simple, mais parfois oh combien relevée !!!

C’est ainsi qu’en cyclotant du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest, en passant par tous les départements ça peut donner ce qui suit : qu’il a fait bon vers la Chaudière et à l’ALPE ça sentait les AYES. J’ai continué sur l’AIRES  avec ALEXIS. J’y ai rencontré la sorcière avec son ARENIER  et un FER à CHEVAL. C’est ainsi qu’aux SAISIES, un MAJOR menait BATAILLE sur une PLACETTE. Mais c’est au  CHAMP JUIN  que LES SAUVAGES  pendaient au GIBET  la  SENTINELLE chaussée de SABOT, avec une GROSSE PIERRE au COL (cou). Y assistaient QUATRE SEIGNEURS qui reprirent les QUATRE CHEMINS, munis de TRAVERSES  pour renforcer le toit du  MOULIN. Pendant ce temps, OLIVIER partit en EXIL en SIBERIE, avec la  MORT d’HUMBERT sur la conscience. Continuant mon chemin avec le PIGNON nécessaire, j’ai entendu dans une  GRANGE un BOURRIN  qui hennissait à  L’EXTRÊME ;  tandis qu’au TUNNEL du MORTIER, le BEAU LOUIS prenait la PENNE de déguster un BALLON de BROUILLY.  Il a ensuite FRISSONNET  en croisant des ENCEINTS !

En bon cyclo, pour terminer, il faut dire que si vous passez par le col de la JUSTICE vous arriverez ensuite devant le col du BON DIEU ; si vous n’avez pas encore égrené votre (col du) CHAPELET, vous n’irez pas (au col) du PARADIS. Mais vous risquez de souffrir les MILLE MARTYRS en allant au (col du) CALVAIRE. A cette souffrance je mets un TERMES, ce dernier mot est le nom du 1000^ème col passé en 2003. Petite performance !!!

De ce PAS de LIEVRE, je sors de ma  LOGE, pour ce jour le récit est fini et je laisse ma plume et la LIGNE, pour vous saluer avant d’aller faire la sieste sous le NOYER. Je mets fin à ce chapitre, il serait trop long de prolonger ce discours car trop de cols à citer et je vous dis à plus… pour d’autres pensées humoristiques.   

                                                                      serge